Max's blog

lundi 16 juillet 2007

Allez, on se détend...

Un ingénieur traversait la rue lorsqu'une grenouille l'appela et lui dit :

- Si tu m'embrasses, je me transformerai en une magnifique princesse.

Il se baissa, ramassa la grenouille et la mit dans sa poche. La grenouille lui dit alors :

- Si tu m'embrasses, je me transformerai en une magnifique princesse et je resterai à tes côtés pendant une semaine.

L'ingénieur sortit la grenouille de sa poche lui fit un sourire et la replaça dans sa poche. La grenouille se mit alors à crier :

- Si tu m'embrasses, je me transformerai en une magnifique princesse, je resterai à tes côtés pendant une semaine et je ferai TOUT ce que tu veux.

Encore une fois l'ingénieur sortit la grenouille de sa poche, lui sourit et la remit dans sa poche. La grenouille lui demanda alors :

- Quoi, qu'est ce qu'il y a ? Je te dis que je suis une magnifique princesse, que je resterai à tes côtés pendant une semaine et que je ferai tout ce que tu veux. Alors pourquoi tu ne m'embrasses pas ?

L'ingénieur répondit :

- Regardes-moi, je suis un ingénieur. J'ai pas le temps d'avoir une petite amie. Par contre une grenouille qui parle ça c'est cool.

dimanche 15 juillet 2007

Le six coups

Ils sont six :
  • K
  • P
  • D
  • E
  • M
  • C
Il faut que j'en touche au moins un et je n'ai droit qu'à une seule tentative.

I believe this day holds for me the very meaning of my career start.

mercredi 11 juillet 2007

SSII - L'enculator

C'est par ici.

[Edit du 18/12/2009]
En fait, c'est par là.

mardi 10 juillet 2007

Y'en a qui doutent vraiment de rien

Je vous parlais l'autre jour de SSII douteuses qui "spamment" des CV de gens qui ne travaillent pas pour eux pour obtenir des contrats. Je crois que j'en tiens un !

Lire la suite

samedi 7 juillet 2007

For relaxing times...

... make it suntanning times !

Lire la suite

jeudi 5 juillet 2007

Recherche d'emploi - 2 semaines après

Nous voici 2 semaines (10 jours ouvrés) après mon inscription sur Monster. Il est temps de faire une petite récap'.

Edité le 6 Juillet

Lire la suite

mardi 3 juillet 2007

Je suis nerveux...

Je viens de me (re)pencher sur mon planning de travail (qui est assez dense) pour appréhender le mieux possible la charge qui m'attend d'ici mon départ et je viens de réaliser qu'il ne me reste que très peu de temps au Canada. Non pas que ce soit un souci vis-à-vis de mon travail (je suis à jour et je n'escompte aucune difficulté majeure d'ici la fin du semestre), mais je réalise que mon année au Canada touche à sa fin et, par là même, à celle de mes études.

Pourtant, je l'attends ce moment. Ca fait même 9 ans que je l'attends. Il y a eu des moments où je n'en voyais pas la fin. La Terminale et la prépa intégrée auront sans doute été mes pires années d'études. Quoique les mois de Mars à Juin en Première année d'Ingé n'ont pas été piqués des vers non plus...

Bref, je suis nerveux. Alors que j'ai anticipé ce moment au maximum : le billet d'avion est calé, j'ai un emploi du temps de ministre réglé comme sur du papier à musique pour le mois d'Août (j'attaque bientôt Septembre), je me suis affranchi (ou je suis sur le point de la faire) de tout un tas de tracasseries liées au départ (argent, valises, transport, ...), j'ai commencé ma recherche d'emploi... Oui, je suis quelqu'un d'organisé. (Ah bon ? :D) Et malgré tous ces contrôles, cette maîtrise des ressources dont je dispose, cette façon de limiter un maximum l'inconnu, cette volonté d'emprise sur les choses, je suis nerveux. De même que le risque zéro n'existe pas, l'inconnu zéro non plus. Je ne sais toujours pas où je vais bosser, ni quand, ni comment, ni pour combien, etc. C'est un peu ça le grand stress du moment : le saut dans l'inconnu, le vrai.

Ce n'est pas tout à fait la première fois que je me lance : en étant admis en école d'ingénieur à Paris, je quittais de ce fait (et avec un soulagement non dissimulé) le giron familial. Tellement heureux d'obtenir cette pseudo-indépendance que les six premiers mois passèrent tous seuls. Il n'y eût qu'en Février, en pleine solitude, que le doute m'a assailli : allais-je être capable de m'en sortir, tout seul, livré à moi-même ? Je me suis vite rassuré : les mois qui venaient de s'écouler démontraient bien que ce n'était pas un souci. Même sur le chapitre financier (qui fait trébucher pas mal de jeunes) je n'ai jamais eu de problèmes. Non pas que mes parents me versent des sommes astronomiques (loin de là) mais j'ai toujours été un bon gestionnaire, économe (non, pas avare) et rigoureux.

En revanche, cette fois, c'est du sérieux : il s'agit de l'indépendance totale (ou presque). De plus, lors de mon départ de la maison, je savais où je partais plus de trois mois à l'avance. Et la question du logement s'est réglée assez vite. A l'heure actuelle, la seule chose que je peux dire, c'est qu'il y a 90% de chances que mon premier job se trouve en région parisienne. Ce n'est même pas une certitude...

dimanche 1 juillet 2007

Ramzi et son bateau

Y'a des gens comme ça qui ont une capacité phénoménale à se mettre dans les ennuis jusqu'au cou des fois, tout ça à cause d'un manque d'organisation et de préparation...

Lire la suite